Royal Encyclopedia of Glenrothes Island

Le Royaume d'Angolworth, dirigé par le Roi Richard V connait au début du XVème siècle une coopération sans précédant avec avec les Royaumes Insulaires du Scotaìl, Galeor, Cheishòlmes, Lothan et Kinross. Cependant; cette entente est mise à mal par le Royaume du Deàrm; terre détenue par les envahisseurs barbares de l'est. Ces derniers sont soutenus par le Royaume des Vandes qui cherche par tout les moyens à déstabiliser la couronne Angolworth. Ces derniers ne s'y trompent pas et le Roi Richard V décide en 1421 d'envahir les terres nordiques "Nordic Earth" pour éradiquer cette menace. Cela entraînera la guerre de 5 ans entre d'un côté Angolworth, Scotaìl, Galeor et de l'autre Deàrm et Vandes. Les "three island alliances" l'emporteront aux prix d'un très grand sacrifice. À son retour du nord, le Roi Richard V devra rendre des comptes, le peuple sombre dans une famine importante et la gestion d'un territoire 2x plus grand qu'il y a 5 années auparavant l'oblige à changer d'objectif. En 1437, le Deàrm récupère son indépendance suite aux "North Liberty act" qui met sous tutelle la couronne du Deàrm; dans ce traité sont fixées les conditions de l’indépendance : rupture de toutes relations avec le Royaume des Vandes, impôt versé à la couronne Angolworth. Cette indépendance sous condition durera jusqu'en 1803; date de la scission nordique.
Au début du XVIème siècle le Royaume d'Angolworth fait face à de fort débat économiques. Le Roi Charles II établi une politique dur, augmente les taxes sur les produits maritimes; produits qui sont le cœur de l'économie du Royaume à l'époque. Face à cette énième taxe, les Îles Cheishòlmes sont affectées par une marchandise augmentant ses prix de plus de 20% en quelques jours. Il décide de se constituer en "temporary union" en 1503, à eux s'ajoute les Îles Lothan et Kinross. Ils décident donc d'abroger le "Scilly pact" qui instituait une coopération extrêmement poussé entre les Îles et le Royaume d'Angolworth. Les autorités d'Angolworth vont alors bloquer la taxe par peur de voir une bonne partie de la flotte commerciale du Royaume (se trouvant principalement à Cheishòlmes suite à ce pact) détruite totalement. Cette situation verra d'ailleurs pendant une très courte période une tentative de Sécession des "Three Islands" en 1504. Face à cette situation, la Couronne d'Angolworth encore marquée par les guerres interminables de XIVème siècle face principalement aux Provençois, décide de réunir en session extraordinaire le "General-States". Le 19 février 1507, des délégués des Three Islands sont envoyés à Fort Gloucester; ils sont au nombre de 5 pour négocier les termes d'une nouvelle entente. À ce moment précis, un courant de pensé va alors profiter de cette grande place d'écoute pour faire valoir une "new vision". Défendu par William Cavendish-Campton, Spencer Wellesley et Stanley Tample, ils vont diffuser leurs idées dans les grands salons de la capitale et défendre l'idée de l'ultime coopération : l'Union Act. Pour eux, les Îles de l'ouest ont toujours travaillés de concert avec le Royaume d'Angolworth, ils représentent une mane commerciale importante et n'ont jamais été infidèle à la couronne. Ils prennent comme exemple cette temporary union qui n'est pas un affrontement armée mais une volonté de discussion. C'est d'ailleurs de là que dans l'histoire de ces Îles, cette période est appelée la "Revolution of good manners". Cette proposition remonte jusq'au oreilles du Roi qui influencé par ses conseillers et la cour nobiliaire décide d'accepter. Cependant, les Îles sont sceptique et veulent des garantis. Ainsi l'Union Act est rédigé, discuté et enfin signé du 24 Juin 1507 au 3 Avril 1509. Dans cet Union Act est institué la représentation des Îles ouest qui ont 4 des 9 sièges du Conseil Royal et ont une politique fiscale quelque peu différentes du territorie Angoloworth.
Ainsi nait le 3 Avril 1509, The United Island of Glenrothes | Les Îles Unis de Glenrothes (nom en hommage au premier Roi ayant colonisé les petites îles).  

Le pouvoir exécutif appartient aux souverain qui lors de l'issue de l'élection générale nomme le Prime Minister. Celui ci est par convention constitutionnelle le leader du parti majoritaire. Cependant, en principe le Souverain peut refuser la nomination du leader et choisir unilatéralement n importe quelle personnalité ou homme/femme politique du Royaume. Ainsi on peut caractérisé le pouvoir exécutif comme ayant 2 têtes : Le Souverain et le premier ministre. Le Souverain annonce lors d'un discours annuel, la vision d'union du Royaume; ce discours est consensuel. Le Roi joue un rôle non négligeable lors des crises gouvernementales. Dans ces situations exceptionnelles, la responsabilité de trouver un formateur de gouvernement lui incombe.

Le Souverain dispose des prérogatives que sont :

• Le Pouvoir des nommer le Prime Minister
  
• Censurer un projet de loi
  
• Nommer les officiers militaires
  
• Déclarer la guerre
  
• Signer la paix
  
• Ratifier les traités (délégué depuis 1952 aux parlement)
  
• Créer des sociétés par charte royale
  
• Reconnaître les Etats

House of Insulars territory


Le Pouvoir législatifs des Îles Glenrothes est monocaméral. Il est représenté par la « House of Insulars territory.

La House of Insulars territoy | Chambre des territoires insulaires est l’unique chambre législative du Royaume. Elle est composée de 577 députés insulaires | Insulars deputy. Ils représentant les 572 circonscriptions du Royaume et les Gouverneurs des Régions Royale.

Ils disposent des prérogative suivantes que sont :

• L’initiative des lois | partagée avec le cabinet
  
• Voter le Budget
  
• Voter la défiance du Royal Cabinet

La composition actuelle est :

Conservative Party - 313 sièges
Fritory Party - 194 sièges
Populist Front - 56 sièges
Liberal-People's Party- 37 sièges

Prime Minister


Timothy Chatterton est l'actuel Premier ministre du Royaume des Îles Unies de Grande Brettania depuis Janvier 2000 et leader du Parti conservateur.

Il n'est pas tellement facile de définir le travail du Premier ministre. Sa mission recouvre en effet un éventail de tâches. Quatre de celles-ci représentent la majeure partie de son emploi du temps : diriger le gouvernement et présider le Conseil des ministres, représenter le gouvernement à l'égard des principales institutions, représenter le gouvernement dans le cadre des partenariats internationaux du pays et assurer les contacts avec des instances non gouvernementales.

Le Premier ministre est, en premier lieu, le chef du gouvernement. Cela implique qu'il préside le Conseil des ministres et le cabinet ministériel restreint, qu'il se concerte avec ses ministres et secrétaires d'État, qu'il examine leurs dossiers et recherche des solutions en cas de problèmes. Il doit donc assister à de nombreuses réunions et entretenir de nombreux contacts personnels; cela implique, en outre, beaucoup de travail d'étude. Le Premier ministre dispose évidemment d'une équipe de collaborateurs. Mais en sa qualité de chef du gouvernement et de coordinateur, il lui appartient de tenir les rênes et aucun dossier ne peut se substituer à son engagement personnel.

En tant que chef du gouvernement, le Premier ministre est à la fois le visage et la voix du gouvernement à l'égard des principales institutions du pays. Ainsi, le Premier ministre est régulièrement reçu en audience par le Roi qui lui apporte ses conseils ou parfois ses directives. Dans cette optique, son rôle le plus visible est celui qu'il joue vis-à-vis du parlement. Le Premier ministre peut y être interrogé, voire interpellé par les Députés sur la politique menée. De plus, le Premier ministre et ses ministres déposent des projets de loi et exposent ceux-ci devant les commissions compétentes de la Chambre des communes insulaires. Tout cela suppose une bonne collaboration entre les pouvoirs exécutif et législatif et un Premier ministre capable de défendre ouvertement son gouvernement et sa politique devant le parlement. Cette responsabilité implique aussi des réunions, des rencontres informelles et une solide connaissance des dossiers.

A l'instar de son ministre des Affaires étrangères, le Premier ministre consacre une attention particulière aux contacts avec d'autres gouvernements et chefs de gouvernement. Il participe notamment aux sommets des chefs d'État et des gouvernements mais effectue aussi de nombreuses visites. Dans la mesure du possible, il se rend lui-même à l'étranger pour y défendre les intérêts du pays. En cas de conflits armés dans lequel serait impliqué le royaume, le Premier Ministre à le droit de prendre en main le commandement militaire.

Enfin, le Premier ministre est aussi le Premier ministre de tous les citoyens. Cela implique qu'il doit pouvoir présenter la politique de son gouvernement à l'opinion publique. Il reçoit des représentants d'organisations non gouvernementales et, dans la mesure du possible, il fait le tour du pays pour prendre la parole devant de multiples forums. Une politique active à l'égard des médias est un des leviers importants pour sa fonction. Ainsi, le Premier ministre tient à se libérer pour une conférence de presse hebdomadaire, il reçoit des journalistes pour des interviews ou il donne suite à des invitations à participer à un large éventail d'activités. Dans un régime politique démocratique, ce quatrième aspect des activités du Premier ministre n'est pas négligeable. Si toutes ces activités absorbent beaucoup de son temps, le citoyen a droit à ce contact direct avec le chef du gouvernement. Et l'inverse est vrai; il reste de son côté à l'écoute des citoyens.

Les Partis Politiques


Nom du Parti :Le Fritory Party « Étymologie gaélique Na Friotoì (les Résistants ») présente des candidats en 1875
Idéologies : Social-Démocratie, Socialisme Démocratique
Leader : Martin Cameron
Devise : People's together
Présentation :

• en politique extérieure, une approche multilatérale et proche des Etats-Fédéraux d'Olgerica, ils défendent une vision de paix, mais n'hésite cependant pas à un interventionnisme diplomatique bilatérale en dehors des Organisations intergouvernementale (cela est partagée par le Conservative Party°.
  
• en politique économique, une vision libérale modéré sur les questions économiques et un développement du "Help Insular's Peoples".
  
• en politique sociale, une approche ultra-libérale et progressiste

Nom du Parti :Le Populist Front, présente des candidats en 1981
Idéologies : Souverainisme, Dirigisme, Populisme,
Leader : Rhys Roberts
Devise : Find the essentials
Présentation :

• en politique extérieure, une approche unilatérale et profondément contre les organisations intergouvernementale, ils défendent cependant une "grande union des Gaels-saxons".
  
• en politique économique, une vision dirigiste, souverainiste sur les questions économique et une utilisation très raisonnable du libéralisme.
  
• en politique sociale, une approche conservatrice et traditionaliste.
  

[b[/b]Conservative party | Parti Conservateur, présente des candidats dès 1885

La vie politique des ïles Glenrothes a rapidement connu les partis politiques, souvent sous formes d’alliance plus ou moins hétéroclytes. Tout d’abord aux XVI ème siècle, lors de la question de l’essor colonial du Royaume. Économiquement stable et prestigieux, les "Glenrothes Island » se veulent empire colonial. Ils vont alors sur ordre de la Reine Elizabeth Ier constituer la « First new earth expedition » pour établir la cartographie et établir du monde lointain (Olgerica). Cependant au milieu du XVI ème siècle, de nombreuses voix vont s’élever pour dénoncer cette atteinte à la morale. Ces voix vont se rassembler pour former à Inverness-Rock, la Na Friotoì qui deviendra le Fritory Party. Face à eux, vont alors ce constituer l’Allegancy party | Parti de l'allégeance.
Au fil des ans, le Royaume s’unira autour de ses quatre îles. Le clivage sur le thème de la colonisation s'estompera pour laisser place à la question constitutionnelle; faut il laisser plus de pouvoir aux Parlement ou réaffirmer le Royal Power. Ainsi l'Allegancy party fusionnera avec de nombreuses factions des îles pour devenir le Conservative Party en 1885.




Conservative Party
Le Conservative Party prend position sur :

• en politique extérieure, une approche isolationniste, unilatérale et en dehors des actions multilatérales.
  
• en politique économique, une vision libérale et anti-syndicale (cependant il demeure au sein du parti, une branche capitalosceptique beaucoup plus proche d'un fort interventionnisme étatique
  
• en politique sociale, une approche conservatrice, chrétienne voire traditionaliste (c'est le plus important point de clivage entre les deux partis